bonne fête à toutes les mamans
Verlaine écrivait :
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime
Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend…
De Folcoche à Mayrig, les femmes ont envahi l’esprit de leurs fils tandis que nous, les filles, aimons et détestons tout à la fois la relation fusionnelle qui nous unit à nos mères.
De tout temps, le corps de la femme a inspiré les poètes et les peintres.
Freud a passé sa vie à en découdre avec des histoires d’utérus.
C’est dire si la femme, et donc la mère, est omniprésente dans nos vies à tous. Elle est le berceau de notre histoire, la première voix que nous entendons, celle que nous aimons jusqu’à la rejeter parfois tant elle prend de place, notre ultime refuge quand notre vie prend feu.
Joyeuse fête à toutes les mères et merci aux pères qui ont le talent d’offrir à leurs enfants des mamans heureuses.
Catherine ARMESSEN
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